Cette abbaye, qui tombe en ruine depuis 1945, a vu l’espoir de retrouver sa grandeur d’antan en 2022. Après le legs d’un million d’euros de la part de Jeanne Pautrat, à condition qu’il soit destiné à la restauration de l’édifice. Cette restauration, qui demanderait près de 5 millions d’euros, voit les choses se concrétiser. « Nous avons trouvé de l’aide pour faire l’assistance d’ouvrage. Dans l’idéal, nous pourrions réparer le clocher et le transept. Nous sommes cependant toujours en recherche de financement. Nous allons bientôt désigner un architecte et chiffrer précisément les travaux, c’est notre grand projet pour 2025 », détaille Jean-Louis Balleret. La Camosine se tourne aussi vers les USA pour trouver un mécène. (Le Journal du Centre, 28 mai 2025)