L’élue précise que la sécurisation et restauration de l’édifice est désormais estimée « à plus de huit millions d’euros », se basant sur les études de l’agence d’architecture et patrimoine Matonti-Politi. Elle indique que « le conseil départemental souhaite préserver au maximum le bâti et le jardin remarquable avec ses arbres autour ».
La collectivité semble donc encline à assumer ce chantier « en allant chercher des partenaires financiers », dont l’État qui pourrait abonder si l’église d’Arenc obtient un statut de monument historique. (Made in Marseille, 7 février )